Description
Guitar Specs :
- Nut Width : 44mm
- Scale : 650
- Back and sides : Paa Ferro (Brazilian rosewood)
- Top : Solid spruce with pliage (like vintage Selmers)
- Neck : Walnut with double action truss rod
- Fingerboard : Ebony with radius
- Binding : Rosewood
- Bridge : Ebony
- Tuners : Der Jung
- Finish : oiled finish
Mr Houdas (France) –
Bonsoir Mr Castelluccia
Mais où avez vous caché l’ampli ??
j ai bien regardé et je ne le trouve pas, quand on a cette guitare en main ce qui surprend c est son poids plume. Je me suis dis, elle est en balsa !!
l’étui ouvert ….une bonne odeur de vernis m a envahi les narines et ce son, puissant comme c’est pas permis ; vous avez fait un guitariste ( amateur ) heureux.
Un manche super , la guitare est non seulement belle ; mais facile a jouer , bon j ai encore beaucoup de progrès à faire mais avec cet instrument on a envie de travailler plus et plus encore.
j ai 51 ans et j ai eu la chance de faire un tour de France chez les compagnons du devoir dans ma jeunesse, de voir de belles ouvrages en ébénisterie , menuiserie, j avoue avoir décortiqué, scruté votre œuvre de près, vraiment dommage qu’il n y ait pas le métier de luthier dans le compagnonnage, il y trouverait toute sa place tant dans l’esprit et le travail de la main.
Pour avoir entre les main une de vos œuvre, vous avez je n’en doute pas, l’esprit des compagnons.
Merci beaucoup pour votre travail magnifique
Eric D (France) –
J’avais encore, chez moi, une guitare de Jazz à Ouies en F, faite il y a longtemps par J. Castelluccia (je lis le nom sur l’étiquette intérieures, mais pas d’année). Elle appartenait à mon père, qui me la prêtait et j’y avais plaqué mes premiers accords, il y a maintenant 40 ans. Malheureusement, celle-ci n’a pas supporté l’outrage des ans et, lorsque je l’ai récupérée, elle était hors d’usage: les deux luthiers que j’ai consultés m’ont répondu qu’il faudrait en réalité en refaire une copie… Je ne l’ai donc gardée que par attachement sentimental. J’ai appris, par hasard, que J.-B. Castelluccia propose désormais deux modèles, la Belleville et la Nymphéas, fabriquées sur le modèle de cette guitare, créée, dans les années 1950, par son grand-père, J.-B. Castelluccia.
Je viens juste de faire l’acquisition de l’une d’entre elles, une Nymphéas. On devine bien qu’il s’agit d’un coup de coeur, voire d’un pur caprice. Mais rejouer sur la guitare de son enfance, retrouver les souvenirs des moments où on a appris à gratter les cordes avec son père… C’est une véritable “madeleine de Proust”. Je retrouve les mêmes impressions, les mêmes sensations, la même prise et surtout, le même son, un beau son typique, à la fois cristallin et sans agressivité aucune, et qui projette de manière étonnante. Je ne dirai rien sur la beauté et le soin apporté à la réalisation de cet instrument: c’est plus que de l’artisanat, de l’art.
Je vous remercie donc, cher M. Castelluccia, de votre travail.
Arnaud R –
Je ne suis pas venu par hasard chez JB Casteluccia, j’ai consciencieusement choisi mon luthier.
Né dans les copeaux de son père, comme il le dit lui-même, il a eu une autre vie avant de prendre la suite de son père et de son grand père.
On ne fait pas ce métier depuis des années et depuis trois générations sans passion.
C’est cette histoire et cette transmission du savoir qui ont guidé mes pas chez Casteluccia.
Quand vous pénétrez dans son antre, ce passé et ce présent transpirent des murs.
Il jauge le guitariste comme un chat matois et je pense, qu’il vous choisit, lui aussi 🙂
Ma demande était un peu particulière, puisque je souhaitais une guitare manouche « hybride » avec laquelle je pouvais aussi jouer du jazz comme autre chose, le tout avec un chevalet piezzo.
C’est ainsi que mon choix s’est arrêté sur la Nymphéas.
Bien entendu, un luthier n’est pas une usine chinoise et donc vous attendez quelques mois, que l’œuvre sorte des mains du maître.
A ce propos, le haut de gamme des guitares manouches d’usines est assez proche en prix, des premières guitares abordables d’un luthier. Et si vous devez faire un choix, à prix égal, la question ne se pose même pas.
Ne soyez pas timides, poussez donc la porte de Castelluccia, vous verrez par vous-même.
Alors ma guitare me direz-vous ?
Eh bien d’abord c’est la mienne, elle est unique, elle a une histoire et en plus elle est très belle.
Elle sonne superbement et son potentiel se révèle déjà, alors qu’elle n’a pas encore atteint sa plénitude.
Elle va prendre encore de la puissance en étant jouée et « s’ouvrir » définitivement.
De la belle ouvrage, faite des mains d’un talentueux bonhomme qui aime la musique, les gens et les guitares.
Que demander de plus ?
Fabrice F. –
Je vous avais commandé en 2017 une Nymphéas en diapason 670. La guitare est une merveille, un chef-d’oeuvre. Vous l’aurez compris, j’en suis plus que satisfait. J’aimerais aujourd’hui réitérer la confiance que je porte en votre savoir-faire en vous passant une nouvelle commande.
Fabrice F.